
C’est dans les tuyaux depuis quelques temps mais l’officialisation devrait arriver courant 2020. L’indice qui sert à calculer la qualité de l’air est amené à évoluer. « Il est en effet en cours de révision pour intégrer les particules PM2,5 », explique Elise Darlay. Ces particules très fines sont d’autant plus dangereuses car elles s’infiltrent plus profondément dans l’organisme. « Actuellement, elles ne sont pas prises en compte dans l’indice Atmo qui date d’il y a une dizaine d’années, poursuit-elle. Il apparaît nécessaire de recalculer cet indice, d’ajuster les échelles. L’indice européen a également été revu. Il s’agit d’être le plus représentatif de ce qu’il se passe. »
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